Le livret de développement durable consiste à soutenir et promouvoir les PME du secteur industriel depuis toujours. Il peut financer des projets, mais il est aussi destiné à encourager les particuliers ayant un comportement responsable vis-à-vis de l’environnement par le biais de la mise en place des dispositifs d’économie d’énergie au sein de leur foyer. Depuis le 1er janvier 2007, le Codévi sert à désigner le LDD. Etant un livret réglementé, sa particularité réside au niveau du fait qu’il soit exempté de prélèvements sociaux ou fiscaux.
Les spécificités du LDD
Toute personne dont le domicile fiscal est en France peut détenir un compte, soit, un livret par personne et deux par foyer fiscal d’après la limite légale. A l’ouverture d’un LDD, le dépôt minimal accepté par la majorité des organismes est de 15 €. Les opérations sont à effectuer librement, incluant les retraits et les dépôts.
Cependant, un arrêté ministériel pour les dépôts hors intérêts a fixé un plafond limité à 6 000 €. Néanmoins, le souscripteur peut effectuer un comparatif entre les livrets proposés par les établissements bancaires, car certains points constituent des éléments de divergence même si le principe de base est le même.
Un livret défiscalisé
A par le livret A, le LDD aussi est grandement avantageux au niveau fiscal. Par ailleurs, il est souvent contracté en tant que complément du livret A, dont le taux s’élève à 2,25%. De ce fait, les Français se tournent de plus en plus vers ce type de placement. En plus de cela, le livret de développement durable compte parmi les plus sûrs, sans parler de ses incitations fiscales. Effectivement, ce livret est très prisé dû à sa rémunération avantageuse. Outre que cela, son taux suit l’inflation et défend le pouvoir d’achat des épargnants. Le Fond de Garantie des Dépôts assure une garantie à hauteur de 100 000 euros au LDD.